- Violette caractérisée rapidement par: les lignes au nombres de 0 à 2 sur les pétales latéraux (diamètre de la corolle pris dans la plus grande largeur: inférieur à 15 mm).
- Différentiel avec Viola Kinkelabia: les feuilles basales de V. Kinkelabia sont rondes; toutes feuilles de Viola arvensis sont lancéolées.
- Différentiel avec Viola tricolor : V. tricolor a 1-2 (3) stries sur les pétales latéraux; les stipules des feuilles médianes sont un peu plus nombreusement (à peine) dentées chez la violette des champs; (la base jaune du pétale central est quelquefois plus longue ou ce dernier est entièrement jaune chez Viola tricolor). L’éperon est blanc, mais jusqu’à violet. Le rapport de longueur sépale/pétale fait que l’on voit nettement les sépales entre les pétales chez la violette des champs, ce qui n’est pas le cas chez la pensée sauvage (sauf chez Viola arvensis var. contempta qui a des fleurs plus grandes). L’ornement en forme de lèvre de l’ouverture stigmatique est toujours saillant chez Viola tricolor, souvent un peu plus que chez les exemplaires de violettes des champs ayant un labelle stigmatique saillant. Viola arvensis: lorsqu’il y a des tâches violettes, elles apparaissent le plus souvent sur les pétales du haut. Le plus souvent, la plante est blanc jaunâtre à gorge jaune comme sur les photos. Pollens pentagonaux contre carrés chez Viola tricolor.
Malpighiales>Violaceae>Viola arvensis subsp. arvensis var. arvensis
Annuelle commensale des cultures. Stellarietea mediae
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Lieu(x) où la plante est photographiée: Sud de la Creuse.