Valerianella locusta présente des cymes bipares (cas des mâches) de petites fleurs blanches bleutées.
Ses fleurs … Elles ne présentent pas d’éperons comme c’est le plus souvent le cas chez les Caprifoliaceae.
Toutes les feuilles y compris celles de l’inflorescence sont entières, rarement lobées ou dentées.
Bractées entières
Les valerianelles s’identifient sur le fruit. Il n’est en effet pas possible de distinguer notamment Valerianella locusta de Valerianella dentata avant les fruits.
Les deux formes de cette mâche ont de tout petits sépales se traduisant par un calice réduit à une dent sur le fruit. Le fruit de Valerianella locusta forma locusta présente une masse spongieuse dont est dénuée la forme carinata. En revanche, cette dernière forme se remarque par le profond sillon sur son fruit.
Dipsacales> Caprifoliaceae>Valerianella locusta f. carinata
Canónigos con cimas de flores azuladas y hojas y hojas brácteas sin dientes (o ligeramente dentadas)
Petite plante des champs, moissons et jachères, des friches, des ourlets ou des bermes à annuelles.
Annuelles pionnières nitrophiles des clairières et lisières européennes, psychrophiles, hémihéliophiles. Arabidopsion thalianae
La forme éponyme, Valerianella locusta f. locusta, réputée plus robuste, serait à l’origine de la tétraploïde mâche cultivée. Les mâches sauvages étant diploïdes.
Cette plante est comestible, apparemment appréciable y compris lorsqu’en fleurs. Cette forme serait utilisée en Galice espagnole.
Lieu(x) où la plante est photographiée: Montreuil (Parc des Beaumonts)