Asteraceae présentant une inflorescence lâche. Chaque fleurs étant portées par de longs pédoncules. Les feuilles du bas sont souvent lyrées (avec segments proximaux petits, et segment terminal très large) La fleur est dite jaune soufre. Une autre sous-espèce existe dans le sud de la France: Lapsana communis subsp. intermedia dont les fleurs sont un tout…
Auteur : Ba na na
Poterium sanguisorba subsp. balaerica. Sanguisorbe polygame
Les pimprenelles ont des feuilles imparipennées à 5-15 paires de folioles dentées. Les groupes de fleurs sont regroupées en têtes assez globuleuses et les femelles se trouvent en haut de chaque tête, quand les fleurs mâles sont en bas de la tête globuleuse. ci dessous une bizarrerie: des étamines sortant en haut de la tête…
Epilobium ciliatum. Epilobe cilié
Epilobe assez grand, à port très raide, orthotrope, à pilosité rase, à inflorescences dressées, avec nombreuses fleurs blanches à roses clair, stigmate en massue.Axe de l’inflorescence bien pubescent (poils glanduleux) Feuilles largement opposées présentant de (très) courts pétioles, de forme assez aigue mais à base élargie (confusion possible avec Epilobium tetragonum, très proche morphologiquement, mais…
Oenothera glazioviana. Onagre de Glaziou
L’onagre de Glaziou se reconnaît facilement car ses stigmates dépassent les étamines. Les boutons se rétrécissent progressivement et très longuement du bas vers le haut. Ses sépales sont striés, rouges. Elle se distingue ainsi d’O. oehlkersii, cette dernière ne possédant pas de pigments rouges. Jauzein 2020 (dans sa méthode cytologique) indique pour cette onagre que…
Oenothera speciosa. Onagre remarquable.
Echappée de culture seulement sur le pourtour méditerranéen pour l’Hexagone (éventuellement sud ouest de la France). Se remarque surtout à ses fleurs blanches ou rose clair (rose clair souvent veinées pour le cultivar que l’on trouve le plus en France). Son tube floral se courbe vers le haut. Sa capsule est ovoïde. Myrtales>Onagraceae>Oenothera speciosa Lieu où…
Oenothera cf. ligerica. Onagre de la Loire
Oenothera ligerica ou Oenothera x ligerica. La plante est un hybride un peu particulier. Les onagres dont le plus probablement celle ci ont, en tous cas en Europe, une forte tendance à faire des hybridations interspécifiques stables (rappelant donc l’hybridation intraspécifique en F1; ici il s’agit de clones hybrides fertiles -système dit Permanent translocation heterozygosity)….
Diplotaxis tenuifolia. Diplotaxe à feuilles étroites.
[=Brassica tenuifolia] Cette diplotaxe présente de grandes fleurs soutenues par de longs pédicelles. On est pas non plus sur de la Pivoine de Chine. Longueur des pétales: 7-7,5 mm. Elle est généralement feuillée presque jusqu’en haut. Brassicales>Brassicaceae> Diplotaxis tenuifolia Friches urbaines, Friches mésophiles et xérophiles. Friches vivaces rudérales pionnières, mésoxérophiles à mésohydriques, médio-européennes. Falcario vulgaris –…
Knautia dipsacifolia. Knautie à feuilles de cardère.
[=Knautia maxima] Cette Knautie se reconnait à ses feuilles opposées, non divisées et terminées en longues pointes. Sa tige est hérissée de poils. Une confusion est signalée avec la Knautie d’Auvergne. Dipsacales>Caprifoliaceae>Knautia dipsacifolia Plante d’ourlets mésophiles. De mégaphorbiaies montagnardes. Plante des étages surtout collinéens à montagnard. Ourlets basophiles à neutroclines, mésohydriques, montagnards. Knaution maximae Julve…
Sisymbrium officinale. Sisymbre officinal
Ce sisymbre se reconnait parce qu’il a des petites siliques coniques appliquées contre l’axe. Il présente des rameaux étalés et les segments ultimes de ses feuilles sont de largeur moyenne: Les genres Barbarea, Sisymbrium, Sinapis, Coincya sont proches ou très proches du genre Brassica (ensemble de plantes polyphylétiques; ce qui implique que la stabilité des…
Sinapis arvensis subsp. arvensis. Moutarde des champs.
Se distingue de Brassica nigra dont les siliques sont dressées et appliquées, et toutes les feuilles pétiolées. Sinapis alba présente également des feuilles toutes pétiolées. Cette dernière se reconnait facilement au bec nettement comprimé de ses siliques. Les feuilles supérieures de Sinapis arvensis sont sessiles ou presque sessiles. Elles sont sinuées à dentées. Les feuilles…